Photo de François

François Puiseux

30 mai 1961 – 29 novembre 2016


Vos messages

Cher monsieur Puiseux,cela fait deja un an jour pour jour que vous nous avez quittez et sachez qu'aucune image ne peut décrire le vide que vous avez laissé derrière vous. Vous qui etiez un homme d'une droiture remarquable vous reussisiez a eveiller en nous une curiosité intellectuelle et un interet si particulier qui nous a fais prendre gout à cette si belle matière que vous nous transmetiez avec passion. Sachez monsieur que vous serez a jamais dans le cœur de tout vos élèves et que votre absence ce fais chaque jour ressentir dans notre établissement! A un professeur exceptionnel!

Nora Alami

Cher François,
J'ai été bouleversée d'apprendre cette triste nouvelle. Les souvenirs n'ont fait qu'affluer tout au long de la journée et je n'en ai que des bons. Je tiens à te remercier pour ta gentillesse, ta disponibilité, ton sens de l'humour et de la dérision. Tu as fait partie des premiers collègues à m'accueillir dans le métier qui est le nôtre et, à chaque déjeuner passé en ta compagnie, mes connaissances s'enrichissaient.
Tu es une personne comme on en rencontre peu et je te souhaite de trouver la paix, où que tu sois.

Dans cette terrible épreuve, je tiens à apporter soutien à la famille Puiseux.

A sa douce mémoire,

Julie M

Cher professeur, je vous remercie encore pour tout ce que vous m'avez appris en cours d'histoire mais aussi à être le seul professeur à m'avoir soutenu d'aller en prépa. Vous restez pour moi un modèle à suivre en terme de culture et de connaissance et surtout, votre optimiste et votre philanthropie resteront à jamais gravé dans ma mémoire.

Mes plus sincères condoléances à vos proches.

Yaolong

Il est des êtres rares qu’il n’est pas nécessaire de croiser souvent pour savoir qu’ils vous sont chers.
Francois posait sur vous un regard doux et mélancolique … ce qui n’empêchait pas nos échanges passionnés … le vin nous aidait … c’est sûr.
Nous nous sommes croisés quelques fois chez Dominique et Guillaume. Un plaisir chaque fois renouvelé, l’assurance d’un moment complice où le regard suffisait à exprimer le plaisir d’être ensemble.
Nous étions des amis du jardin des plantes.

Eric Rabaux

A l'attention de Mme la proviseur et de Mme la CPE:
Je tenais à vous dire au nom de toute notre famille que vos présences et les témoignages de sympathie et de respect de la part du lycée lors de la cérémonie d’au revoir à mon frère Francois nous ont profondément touchés et émus.

Ils nous ont fait découvrir une facette de la vie de Francois que nous connaissions peu qui nous éclaire sur sa vie et ses qualités de professeur.

Nous vous en sommes donc très reconnaissants et vous demandons de relayer ce message, en votre qualité de proviseur et de CPE auprès des différentes composantes du lycée à savoir:

- Les élèves
- Le corps enseignant
- Tout le personnel

Bien cordialement et tristement, et en mémoire de Francois je vous en remercie à l’avance.

Eric

François
C'est bien difficile de trouver les mots pour te dire au revoir.
Je repense à ces jours de juillet passés avec toi à Atalaya rythmés par les matinées à la plage, les après-midi à lire et à jouer au tennis avec quelques glaces Geo au milieu.
Je me rappelle de ta patience (et ce n'est pas une qualité donnée à tous les Puiseux) lorsque je mettais mon 20e revers de suite dans le filet et ton enthousiasme quand enfin il y en avait un de réussi ; ou encore mon admiration quand on regardait les étoiles avec la longue vue et que tu connaissais le nom de toutes les constellations. Et pour finir, il y a un peu plus d'un an, cette soirée où nous étions allés tous les deux au théâtre ensemble et tu avais fait un grand détour pour me raccompagner à pied en bas de chez moi.
Tu avais toujours le sourire aux lèvres, un regard bienveillant et un mot gentil qui nous manqueront.

Chloé

François, mon oncle
En ces jours difficiles, je pense beaucoup à lui, à sa présence bienveillante, aux bons moments et à nos discussions. Sa curiosité et son sens de l’écoute m’inspirent. Il me manque déjà.

Magali

Pour tous ceux qui ont quitté ce monde et dont tu connais la droiture....S'il est une phrase de la liturgie qui s'applique à François, c'est bien celle-ci...La droiture n'a pas de prix et François en était l'exemple vivant dans les nombreux domaines qu'il explorait avec maestria. C'est son ancien collègue de Jean Lurçat au début des années 2000 qui en témoigne ici, sidéré par cette nouvelle apprise hier. Ah, tous ces élèves que nous avons eu en commun ! La richesse de nos échanges ! Et souvent auprés de lui les réponses bienveillantes aux questions qui me travaillaient! François, que le voyage vers le juge au front duquel le soleil luit te soit doux...

Gilles HUSSON

Je n'ai pas pu être présente hier, comme je le voulais, à la cérémonie pour François.
Il a décidé de quitter la vie. Les coeurs purs, sincères, sont parfois tourmentés et ne savent pas voir que la nuit n'est jamais tout à fait complète, qu'il y a toujours une fenêtre éclairée, un rêve qui veille ; alors, ils ont envie de paix...
Je veux juste lui souhaiter cette paix et vous dire toute mon affection ainsi qu'à la famille Puiseux dans ce moment douloureux.
Je t'embrasse.
Virginie

Virginie

Cette triste nouvelle a boulversé les esprits ...
Merci pour tout ce que vous nous avez apporté,votre sourire, vos rires inoubliables mais surtout pour votre enseignement d'une matière qui vous passionnait et dont vous avez su nous partager toutes vos connaissances afin que nous puissions connaitre l'histoire de notre passé, de notre présent et celui du futur ... la votre, s'est terminée brutalement ..mais une nouvelle se créer maintenant ...
Merci pour la personne que vous étiez et grâce à vous j'ai obtenu une excellente note à mon épreuve d'histoire au baccalauréat.
Vous resterez à jamais dans nos cœurs

Ancienne élève de Tstmg. promo 2016

Nous pleurons un décès, nous saluons un grand instituteur. Le professeur, l'Homme, qui vient de nous quitter, faisait partie de ces enseignants qui nous ont tous donné envie d'apprendre, de découvrir, de se cultiver. Son sourire, ses expressions nous manqueront.
La mort de Monsieur Puiseux nous a frappé de tristesse, car sa vie aurait dû se continuer, toujours plus remplie d'enseignements que nous n'oublierons jamais.
Monsieur Puiseux a dans mon esprit et dans mon cœur une place unique, désormais plus que jamais protégée.

Vous manquerez au monde,
Reposez en paix

Chapko Léonide

Mr Puiseux un Professeur exemplaire qui nous motivait avec son beau sourire et son énergie,on sentait qu'il avait une grosse envie de nous transmettre son savoir et sa culture si riche qu'on peut dire qu'il connaissait absolument tout.
Une vrai perte pour l’éducation et l’humanité entière
Courage à sa famille et à tout ses proches.

REPOSE EN PAIX MON CHER PROFESSEUR TU RESTERA ANCRÉE DANS MES SOUVENIRS ÉTERNELLEMENT.

MASSINISSA

François croyait en un monde meilleur et en la solidarité humaine
Il voulait que le monde change de bases, que la société soit plus juste.
Par son métier et par ses engagements, il travaillait pour faire advenir ce monde.

Comme François, œuvrons pour un monde meilleur.

Intention de prière

François aimait transmettre. Il croyait en l'autre. Il cherchait à comprendre chacun de ses élèves, et c'est ainsi qu'il les accompagnait sur le chemin de la vie.
Comme François, soyons attentifs à l'autre, à transmettre et à partager.

Intention de prière

François a toujours été attentif aux autres, sans jamais juger ni critiquer.
Comme lui soyons ouverts et compréhensifs à toute croyance et à toute religion,
même et surtout si elles ne sont pas les nôtres.

Intention de prière

François était un fils, un mari, un père, un frère et beau-frère affectueux et
attentionné.
Sa famille était précieuse pour lui comme premier cercle de solidarité et de
transmission.
Comme François, soyons attentifs à entretenir et cultiver ces liens qui cimentent les
familles, sont sources de joie et aident à traverser les épreuves.

Intention de prière

Rompue de froid hier en sortant de l'église, je pensais à nos conversations sur le cinéma et j'essayais de rassembler quelques images pour redire avec vous tous la générosité de ses idées et combien il me semblait affranchi de tous les dogmes, libre penseur et amoureux du 7ème art. On parlait récemment du film "Blow Out" et il m'expliquait un truc au montage pour que le hibou ou la chouette produise cet effet merveilleux à l'écran. Je me rappelle aussi ses conseils pour présenter aux étudiants de bts un beau film de Tavernier qui se déroule après la guerre 14-18 dans des paysages dévastés par la mort. Heureusement le personnage principal retrouve l'espoir et ses collines à la fin du film... "La Vie et rien d'autre", c'est le titre.
On a souvent au cinéma l'impression que le temps s'arrête. Comme hier sur la place où nous étions tous réunis. Salut François. La fascination reste seule.

Sophie Hogday

Reposez en paix

Annonyme

François mon frère
François mon ami
est parti et je pleure...

Il est parti sur la pointe des pieds, sans prévenir
Vers d'autres rivages, peut être plus cléments
Et aujourd'hui je me souviens...

Voilà une croisière en bateau
De Corse vers Ste Maxime, ou peut être l'inverse
Où sous nos yeux de gamins ébahis
Les dauphins passent en dansant sous la coque du bateau.

Voilà une partie de Ping Pong
À Nanteau la table est encore dans la salle à manger
Où nous tapons la balle comme des fous
Smash sur smash et au premier qui flanchera.

Voilà le rugby à la télé
Tant de matchs vus ensemble
Tant de bières aussi et pas mal de hurlements
Et quand la France gagne contre l'Angleterre
C'est le bonheur absolument.

Voilà un concert de Tiken Jah Fakoli
Cadeau de nos enfant, une place chacun
Ou nous dansons ensemble
Heureux comme des adolescents
Au son d'un reggae décoiffant.

Voilà nos discussions politiques
À la fin des repas de famille, au dessert uniquement
Où tu tiens tete très sérieusement
À la plupart de nos arguments
Parfois même en te fâchant.

Mais je pleure aussi ces moments que nous devions encore passer ensemble:
- Boire des pastis bien tassés à Atalaya
- Jouer aux échecs sous les mimosas
- Escalader le Toubkal enneigé
- et bien sur refaire le monde à chaque élection

Voilà François, je te salue mon ami
Voilà mon cher frère
Je te dis adieu des larmes plein les yeux
Et le cœur à l'envers, je t'embrasse du fond du cœur.

Eric

Notre père était pour nous un modèle.
Il était un modèle d'érudition, qui lisait énormément et avait d’immenses connaissances dans des domaines variés
Il était un modèle de performance physique, naturellement doué dans tous les sports.
Il était un modèle de décontraction, qui accordait peu d'importance aux conventions sociales.
Il était un modèle d'ouverture au monde, qui suivait attentivement la politique et les évolutions de la société.
Et il était un modèle d'ouverture aux autres, qui savait apprécier et se faire apprécier des gens, comme votre présence ici en atteste.

Ne plus l'avoir comme exemple au quotidien va être dur, mais il restera toujours la référence à laquelle nous nous comparerons.

Il n'y a qu'un point sur lequel notre père ne doit pas servir de modèle, c'est sa tendance à garder sa douleur et son mal-être pour lui.
Je le dis pour mes frères, je le dis pour moi, je le dis pour chacun et chacune d'entre vous ici, parce je regrette de ne pas l'avoir dit à mon père à temps.
Si vous allez mal, parlez-en. Il n'y a rien de viril, il n’y a rien de convenable, il n’y a rien de bienséant à garder sa douleur pour soi.
Parlez-en à votre famille, parlez-en à un ou une amie, parlez-en à votre confesseur, parlez-en à votre psy, parlez-en à un service téléphonique spécialisé, parlez-en à qui vous voulez, mais parlez-en.

Si vous pensez que le monde s'en fiche, je vous promets que vous avez tort. Vous êtes aimé⋅e⋅s, comme notre père était aimé.
Vous méritez d'être aidé et vous méritez d'aller bien.
Ne faites pas la même erreur que notre père, parlez. Et gardez en mémoire sa profonde humanité et son amour des autres.

Aurélien, Clément et Raphaël

Une superbe messe en votre mémoire , une eglise noire de monde , vous avez réussi à tous nous unir , bon voyage Monsieur Puiseux , trouvez la paix et la sérénité dans ce nouveau monde . Mes pensées sont tournées vers votre famille en ce jour .

Pauline Dupont

Je ne serai pas là cette après-midi pour partager votre peine. Depuis quelques jours, des images de François me reviennent, et toujours ses yeux brillants et son sourire, malicieux et interrogateurs. L'image d'un homme libre et élégant. Un homme qu'Antoine aimait tant. Je pense à vous, Isabelle, Aurélien, Clément et Raphaël. Avec toute mon amitié

Lorène Verdeil

Difficile de s'exprimer... Cela fait une semaine que je cherche les mots justes... La présence de François manque en salle des professeurs, sa grande silhouette, son rire discret... Je me souviens aussi des regards admiratifs d'élèves quand ils rejoignaient son cours... Respect François ! Au revoir...

Isabelle H

C'était pour moi un vrai plaisir, depuis quelques années, d'aller faire passer le bac de cinéma au lycée Raspail avec François. Il était de ces personnes qui allègent la charge de travail par leur bienveillance, leur patience, une vraie gentillesse...
François aimait son métier, savait pourquoi il enseignait, avait à coeur de transmettre et d'échanger, et il me semblait que ni le passage du temps ni la fatigue du métier de professeur ne parvenaient à altérer ses convictions. Pour cela, il a toujours forcé mon admiration.
Je garderai en mémoire un café pris en terrasse, en plein soleil, une belle journée du printemps dernier, à la sortie d'une projection scolaire au cinéma La Clef. François était très bavard, il avait beaucoup de projets, des projets de films avec ses élèves, notamment, qu'il m'avait exposés avec enthousiasme.
C'était un beau moment, de ceux dont on ne sait pas, quand on les vit, quelle valeur singulière ils revêtiront par la suite.

Aude Lemeunier

François,
Beaucoup de souvenirs me reviennent ces derniers jours. Des tours de magie et des histoires extraordinaires qui me faisaient rêver quand j'étais enfant. Des JO à la télé jusqu'au bout de la nuit en vacances, des parties d'échec, des débats politiques et de l'Histoire. Tout ça se mélange et je retiens ton contact facile et ta douceur.
Ciao

Cyril

François, je ne peux pas dire que je le connaissais bien.
Il ne pratiquait pas beaucoup l’art de la conversation de convenance.
Je le rangeais parmi les taiseux, un genre de grand cowboy qui va à l’essentiel.
Et avec lui, l’essentiel de nos échanges, concernant le projet de l’option cinéma, c’était moins le cinéma que l’état de la classe, l’état des élèves, en groupe et individuellement, et les diverses manières de les impliquer dans le projet.
C’était surtout ça, le projet.
Les élèves, et ce qu’ils faisaient là, au lycée, et lorsqu’ils en sortaient.
Lorsqu’ils se retrouvaient dans la vie au cœur de l’Histoire, de la Géographie, et de la société.
Un bon projet de bon prof, et sans doute pas seulement de prof.
Les gens avec lesquels je lui ai proposé de travailler l’ont mieux connu que moi. Ils avaient pour lui de l’affection, de l’estime, une vraie sympathie.
J’ai noté dans un carnet le titre d’un livre qu’il lisait.
Il ne me l’avait pas conseillé, ni particulièrement recommandé. Simplement, il le lisait.
Un jour en fin d’atelier il rangeait ses affaires, et ce livre est sorti de son sac, je lui en ai dit deux mots, parce que j’avais déjà lu un livre de cet auteur, et il m’a dit en rigolant,
Ah oui, ça rigole pas !
Je découvre les témoignages de ses élèves, anciens, et récents. Il faut croire qu’il avait développé en eux une certaine capacité à s’intéresser et à réfléchir à des trucs qui ne rigolaient pas.

Laurent Geniller

Cher François,
Je me souviens avec émotion des nombreux moments que nous avons partagés ensemble. Ces séances de tennis auxquelles tu m'emmenais autour de mes 18 ans, alors même que je jouais comme un pied ; les paresseuses semaines d'été à Atalaya ; notre déjeuner d'il y a quelques mois, lors duquel j'avais pu discuter si librement avec toi.
Je regrette tant de ne pas avoir approfondi davantage cette relation parrain-filleul qui nous unissait. Mais je m'efforcerai de ne pas dévier du chemin d'humanisme, de tolérance, de bienveillance et de curiosité que tu as tracé pour moi et pour tes proches.

Anatole

Cher François,

j'ai vu nos élèves hier, nous étions tous très émus de nous retrouver sans toi. Je leur ai dit ma peine d'avoir perdu plus qu'un collègue, un ami avec lequel je discutais beaucoup, notamment de politique, ce thème si cher qui nous avait réuni autour de l'option cinéma depuis 3 ans déjà. Je leur ai dit notre habitude d'aller boire des verres après les cours, pour discuter de nos vies personnelles aussi. Je leur ai parlé de ce mardi 22 novembre, la dernière fois que je t'ai vu, tu n'allais pas très bien, Djimby à confié qu'à postériori elle aussi t'avais senti loin de nous ce cours là. Comme eux, j'ai du mal à réaliser que c'était la dernière fois que nous échangions, j'entends encore ta voix.
Un ami réalisateur m'a dit un jour que "les morts servent toujours à quelque chose", aujourd'hui je suis en proie à beaucoup de questionnements, et je sais que les élèves comme nos partenaires de la Mgi aussi.
Je repense à nos derniers mots échangés, tu as écourté notre verre prétextant avoir froid sur cette terrasse de Châtelet qui était devenue notre habitude d'après cours... puisses-tu être plus près du soleil désormais.
Nous avons décidé avec les élèves de continuer le travail que tu avais initié avec eux, en ta mémoire. Je sais que ce partenariat avec le Mobilier National te tenait à coeur, comme nous tous, ils ont été très touché de ta disparition.
Je pense à tes proches, à ta femme, à tes trois fils, à ton cadet dont tu me parlais si souvent. Je sais que tu étais fier d'eux.
Pour ma part je garde un souvenir vif de nos après midis et soirées à Nuit Debout, tu étais si exalté, et heureux de me montrer les constructions faites par les amis de ton fils. Je regrette que tu n'ai pas voulu rester pour continuer la route avec nous.
On la continue, avec les élèves, avec toute l'équipe de la Mgi et du Mobilier National, en l'honneur de Toi.
Salut François, je ne puis me résoudre encore à te dire Adieu.

Camille Gerschel Hautefeuille

Papa Puiseux, tant de moments magiques racontés ! Je ne peux m'empêcher de penser que tu aurais adoré qu'on te rappelle ces histoires. Pour moi, tu es parti comme tu as vécu, sans faire d'esclandre. Mais tu laisses toutes ces voix qui - après l'avoir perdue - cherchent leurs mots et finissent pourtant par exprimer la même chose...

Homme de passion, merci pour ces beaux souvenirs. À la famille, je suis de tout cœur avec vous.

Khalil

Monsieur Puiseux,

Nous ne vous avons pas forcément eu beaucoup en cours mais vous avez su attiser notre soif de connaissance sur les coutumes et traditions chinoises.

Merci de nous avoir appris une culture totalement différente de la notre.

Reposez en paix

Classe du BTS Communication initial - 2015/2016

Nous t'avons souvent croisé, paisible, souriant, avec un charme que l'on n'oublie pas au sein de cette merveilleuse famille Puiseux...tous ces messages plus touchants les uns que les autres pour mieux te découvrir aujourd'hui.
Paix à toi et toute notre affection à ta famille, tes parents, tes frères et sœurs que nous aimons.

Véronique et Georges

Nous ne pourrons être présentes ce jeudi, croyez que nous le regrettons. Nous tenons cependant à exprimer toute notre gratitude pour la qualité du travail et de l'investissement de notre collègue François Puiseux, très apprécié de tous. Nous nous associons à la peine de ses proches, de ses collègues, de ses élèves et adressons nos très sincères condoléances à sa famille.
Marie Berthelier, IA-IPR de Lettres, Sylvie Lay, IA-IPR d'Arts plastiques, en charge des enseignements de Cinéma audiovisuel.

Marie Berthelier, Sylvie Lay

François,
Mon souvenir de toi est celui d'un examinateur bienveillant auprès des candidats, j'appréciai ton regard sur les élèves, j'espère pouvoir en faire autant.

Bruno Darles

Why ?
Tu étais celui qui rendait les choses simples au moment du bac en option cinéma. On se reposait tous un peu sur toi et ton sens pratique. Tu nous manques déjà et nous manqueras encore et encore ...

Claude Barreau

A François Puiseux,

Merci, Monsieur Puiseux, pour votre discrétion, votre intelligence, votre culture;le travail que vous meniez avec les élèves en cinéma était de très grande qualité. Je pense à tous vos collègues, le professeur et l'homme que vous étiez va leur manquer.

Hélène Mathieu, proviseure du lycée Jean-Lurçat 2009-2014

François,
Tu resteras dans les mémoires un enseignant au regard bienveillant, au conseil sage et avisé .... J'entends encore ton rire résonner en salle des profs. Ta présence discrète a marqué cette pièce d'une empreinte indélébile qui nous laisse à présent si démunis... Puisses- tu avoir trouvé le repos que tu cherchais, une paix intérieure...

Valérie

François, tu es parti si tôt ! Bien que cousins, nous nous connaissions en fait si peu : quelle tristesse !
Mais je garde de toi le souvenir de ton regard qui écoute, de ta passion pour le cinéma, de ton air toujours soucieux, lors de nos rencontres familiales. Et j'ai une pensée particulière pour Isabelle, Aurélien, Clément et Raphaël. Puisses-tu, de là où tu es, veiller sur eux.

Béatrice

François
Les témoignages de tes élèves ne trompent pas et illustrent ce que tu as été pour eux. C'est une belle réussite. Puissent ces messages consoler tous ceux qui te pleurent, Isabelle, Aurélien, Clément, Raphaël, tes parents, tes frères et sœur et tous les autres. Nos prières t'accompagnent sur ton chemin de Paix.

Eric et Ostiane Lancrenon

On oncle qui restera dans mon coeur, je pense à tous ces noëls passés ensemble, à discuter de choses et d'autres, je pense à ses blagues et sa bonne humeur qui emplissaient le salon, ce sont des souvenirs que je garderai précieusement ! Je pense aussi à ma famille : mes cousins ses enfants et Isabelle bien sûr et je souhaite à Francois de trouver le bonheur où qu'il soit !

Agathe

Aujourd'hui je repense à chacune de nos rencontres, trop rares sans aucun doute car nous pensions avoir le temps, qui restent marquées par ton accueil chaleureux et ta bonne humeur. Aux instants de plaisir partagé, un verre à la main, une cigarette dans l'autre, à échanger nos idées sur la musique, le cinéma, les livres et toutes ces choses qui auraient dû rendre la vie plus belle.
Penser à ces moments là, c'est ce que j'ai trouvé de mieux pour te rendre hommage....

Martine Manfré Itzinger

A la famille de François,
J'envoie plein de lumière,
ainsi qu'à ses amis et à tous ceux qui l'ont aimé
et te rends hommage, à toi,
François, cher collègue,
parti beaucoup trop tôt!

Lynn Sacuto

Il est toujours plus simple de voir ses mentors comme des personnes immortelles, des rocs que rien ne peux atteindre.
Vous étiez un étiez un véritable hussard noir de la république, comme mon père.
Je n'oublierais pas vos enseignements ainsi que le temps passé à vous écouter parler autre qu'histoire, car cela vous arrivait et c'est à ça que l'on reconnait un enseignant hors norme.

Puisiez vous trouver la réponse là ou vous êtes, mes pensées vont votre famille, vos amis et à notre chère école, qui aujourd’hui ne devrait pas afficher sa grande façade blanche.

Enzo Anselmo

Une pensée pour toi que j'ai souvent croisé en salle des profs sans vraiment te rencontrer, et maintenant c'est trop tard. Les messages laissés par tes amis montrent combien c'est dommage, combien tu étais quelqu'un qu'il aurait fallu connaître davantage.
Une pensée pour ta famille à laquelle je souhaite tout le courage du monde.

Sophie

Qu'il peut être long et difficile le chemin vers l'Etoile. François a rejoint la sienne beaucoup trop tôt.
Que la Lumière qui brillait en lui continue de rayonner à travers Raphaël, Clément, Aurélien, Isabelle et tous ceux qui ont eu la joie de le croiser un jour sur leur route; et que cette Lumière leur donne la force et le courage de continuer à avancer.

Sandrine Dos Santos

François, nous sommes bouleversés.
Même si on ne se voyait pas assez souvent, nous étions toujours heureux de nous retrouver. Ton si beau sourire, ton esprit et ton regard resteront gravés dans nos mémoires.
A Nanteau, où tu m’as fait découvrir Bob Marley… dans le bois de Vincennes, où nous avions passé de si bons moments tous ensemble… nous ne t’oublierons pas.
Il y a des personnes sur terre particulièrement attachantes, et tu en faisais partie. On ne sait parfois pas comment l’exprimer, mais tu vas terriblement nous manquer.
A Isabelle, Aurélien, Clément et Raphaël, nous pensons énormément à vous.

Patrick et Florence VAN BLOEME

Francois,

Mon Frère chéri,

tu as illuminé mes yeux de petite fille par tes tours de magie.

Comment oublier ta douceur, ta soif de connaissance, tes coups de gueule, ta malice et nos parties de Mah-jong à Atalaya?

Merci pour ce que tu étais, merci d’avoir veillé sur moi.

Tu es dans mon coeur pour toujours, sois en paix dans la lumière et trouve le bonheur.

Je t’aime,

Marika

Marika

Je suis déchiré par la nouvelle...
Les maximes que vous pouviez lancer ici et là, au détour d'une question posée, guident encore mes pas aujourd'hui...

La dernière image que j'ai de vous, c'est à ce cocktail où vous m'aviez fait rentrer, à rire, à débattre... ce moment était parfait. Je le garderai toute ma vie.

Vous resterez un exemple pour moi.
Toutes mes pensées vont vers la famille.

Bon voyage.

Guillaume Capelli

Tu emportes avec toi ton mystère...
Mes pensées vont vers ceux à qui tu vas manquer.

Alice Bouché

François oh mon frère, où es-tu?
J'espère que la haut sur ton petit nuage tu as Internet et que tu peux lire tous ces messages formidables.
Tu me manque tellement.
Je t'embrasse du fond du cœur.

Eric

Ce monde ne tournais déjà pas rond, tu n'aurais pas du!
Je ne t'avais pas vu depuis longtemps, la tristesse que tu montrais les dernière fois et qui m'interrogeais.
MERCI pour tout ce que tu m'as apporté, toutes tes qualités depuis si longtemps, tu vas me manquer aussi
je pense à tes enfants, Isabelle, tes parents, repose en paix là ou tu es.

Marie-Sophie Trentesaux

François, fallait t-il que tu ne sois plus pour que revienne le cousin, élégant, charmant, si intelligent ?
Fallait t-il que tu ne sois plus pour communier avec tes frères, ta soeur, tes parents , tes enfants, ton épouse ?
Fallait t-il que tu ne sois plus pour questionner le sens de nos vies dans ce monde à la ramasse ?
Au revoir François ....et respect !

Denis Chevallier

Hier soir, Isabelle m'a dit qu'avec d'autres collègues, elle avait déplacé les meubles dans la salle des profs. Parce que ce vide que tu laisses est immense. Moi,je suis comme les autres, quand j'arrive au lycée, je te cherche. Je voudrais croiser encore ce regard bien à toi, un peu rentré, un peu planqué sous la mèche et en même temps aiguisé, éclairé, délicat.
Je te souhaite un beau voyage, François.
Tu nous manques.

Julie

A Eric, Xavier, Marika, ses frères et soeur, et Arnaud que je ne connais pas... à vos conjoints, à vos enfants et à tous ses proches, sa femme et ses 3 garçons,
La nouvelle est tombée comme un couperet. Comment cet homme si souriant, si positif, si empathique, si sincère, si aimé, a pu sortir de cette vie ? Je pense à tous ces moments familiaux que nos deux familles partageaient. Sans avoir été très proche, j'ai toujours apprécié sa positivité, son ouverture, son sourire. Aujourd'hui je pense à vous tous frappés par ce départ douloureux. Une pensée toute spéciale pour Bernadette et Andrée. Vous êtes une famille formidable et si unie, c'est cette force qui va vous aider à surmonter cette absence. Nous vous embrassons tous Christian et moi avec notre profonde affection.

Chantal Escoffre

À sa famille, nous partageons votre tristesse, en esperant l'alleger, au moins un tout tout petit peu. De tout coeur avec vous. Gabor et Caroline

Gabor et Caroline Mester de Parajd

À sa famille, nous partageons votre tristesse, en esperant l'alleger, au moins un tout tout petit peu. De tout coeur avec vous. Gabor et Caroline

Gabor et Caroline Mester de Parajd

Aux fils de François Puiseux dont il ne cessait de vanter les mérites athlétiques ,je tenais à dédier ce petit mot.
J'ai eu a chance de côtoyer François au Lycée Jean Lurçat et de constater à quel point il y était apprécié de tous ...
Dés son arrivée , j'ai assisté pour la première fois à un applaudissement unanime et appuyé d'une classe de seconde à la fin d'un cours d'histoire . Je n'avais jamais vu ça !
Puis sa passion pour le sport nous a rapprochés d'abord en échangeant sur les banquettes de la salle des professeurs nos pronostics sur le prochain vainqueur de Rolland Garros puis dans le gymnase où pour en découdre nous avons réduit la taille des raquettes et du terrain dans d'interminables parties de ping-pong .
Je n'oublierai jamais ton fair play, ta disponibilité et ta bonne humeur.
Au revoir François , tu vas me manquer comme à nous tous......

Ronald Baue

Monsieur Puiseux
Vous qui disiez toujours qu'il n'existe pas de question bête, aujourd'hui, nous resterons sans réponses.
Pourquoi vous?
Vous qui étiez un homme si bon, plein d'humanité, avec un grand coeur, vous qui ne perdiez jamais votre calme, toujours patient, on vous regrettera.
Comment allons-nous apprendre l'histoire sachant que vous avez marqué la nôtre.
Monsieur Puiseux, qui voulait voir le monde changer, et qui transmettait son savoir avec sincérité était unique.
On aimerait vous revoir, juste le temps d'un soupir, au mieux pour vous dire Adieu, et revoir votre sourire qui va tellement nous manquer. Ce même sourire authentique qui nous rassurait lorsque vous nous souhaitiez un bon courage avant chaque contrôle. Vous qui avez consacré votre vie aux autres en choisissant l'éducation comme profession, vous pouvez être fier d'avoir pu laisser une empreinte dans nos vies. Nous aurons peine à concevoir votre remplacement, qui pourrait assurer votre succession? Vous qui vous souciiez de chaque élève, vous étiez un homme attachant, vos cours étaient vivants et captivants. On vous connaissait en temps que professeur, et cela suffisait pour comprendre la personne que vous étiez : une personne admirable, pleine de connaissances et de bonté.
vous méritez un au-revoir digne de ce nom, le discours que nous exprimons, face à ce drame, nous rappelle que même si nous sommes tous différents, nos coeurs battent à l'unisson.
Le professeur, le collègue, l'ami, l'humain que vous étiez va nous manquer.

vos chers élèves

Arrivé en septembre au lycée, je n'ai pas tellement eu l'occasion de découvir François, si ce n'est lors d'une sortie scolaire à la Manufacture des Gobelins. Sa présence parmi l'équipe enseignante manque toutefois cruellement. Je ne l'oublierai jamais. Sachez qu'en cette terrible période, je pense et prie pour vous: son épouse, ses enfants, ses parents et ses proches. François, qui est entré dans la paix et la lumière, veille sur vous et ne cessera jamais de vous aimer.

Marc-Antoine Jacob

«Au revoir à demain» resteront les derniers mots que je vous aurais prononcés. J'ai mal de vous savoir parti. Vous qui étiez un professeur si exceptionnel, avec plein d'attentions pour vos élèves, vous nous donniez la joie de vivre, la volonté de réussir et de toujours aller jusqu'au bout. On était content d'avoir cours avec vous et de vous entendre nous raconter l'histoire. Les malheurs du monde prenaient une tout autre allure avec vous. Votre positivité et la façon dont vous nous transmettiez les choses les rendaient rassurantes. Monsieur Puiseux merci de m'avoir transmit votre savoir pendant ces trois ans. Merci de m'avoir fait aimer l'histoire et d'avoir rendu ces cours si riches et si passionnants. Vous qui m'avez appris l'histoire, vous avez marqué la mienne. Vos expressions et votre attitude vont me manquer. Vous resterez dans mon cœur.
Adieu professeur...
Mes condoléances pour votre famille, je pense à elle dans ce moment difficile.

Eugénie

Les mots me manques pour vous exprimer à quel point mes camarades et moi sommes ému par l'annonce de cette triste nouvelle. Élève au lycee dans lequel enseignait Monsieur Puiseux , il a été mon professeur durant 2 ans, c'était une personne cultivé, discrète et bienveillante avec ses élèves .
Je vous prie de bien vouloir accepter mes très vives condoléances.

Myriam Othmani

Mr.Puiseux était mon professeur d'histoire pendant presque 3 belles années. Durant ça il ma soutenu pour mon Tpe et epaulé pour le Bac,il rendait l'histoire captivant et réel. Sachez que je suis de tout coeur avec vous et vous souhaite mes sincères condoléances. Votre père, votre mari, votre fils sera toujours dans mon coeur, il a marqué ma vie a sa manière. A vous mon professeur d'histoire a vie!

Amani Telli

Monsieur Puiseux a été mon professeur pendant 3 ans en tant que professeur d'histoire mais aussi en tant que professeur de TPE, travaux où il m'a énormément soutenu. C'était un homme très cultivé qui donnait des cours vivant et intéressant. Il va eormement me manquer. Je souhaite beaucoup de courage et mes sincères condoléances à ses proches.

Orane Ferreres

Etant une élève de TES, je tenais à remercier ce professseur pour sa patience et la connaissance qu'il nous a transmi. Je le connaissais depuis 3 ans et ce que j'ai retenu c'est sa gentillesse et son entousiasme à nous partager son savoir. Un père, un humain, un professeur qui s'en va, alors je donne tout mon soutien à la famille en me permettant de mettre un message pour montrer que même les élèves ont étés touchés par ce drame. Bon courage

Eva Alimi élève de TES

Un mauvais rêve n'a pas voulu s'estomper ce matin quand je suis arrivé au lycée.
Je n'ai pas entendu ton "salut" chaleureux en salle des profs qui donne du courage avant de monter en cours.
Ce midi, nous étions seuls à table avec Claude pour refaire le monde.
Puis, Ronald et moi ne t'avons pas vu arriver au gymnase pour nous infliger tes coups droits tonitruants au ping-pong.
Ce soir, au conseil, ta voix nous a manqué.
Je garde le souvenir de ta belle présence pour le difficile réveil.
Je te souhaite paix et lumière pour ton repos.

Christophe

François,
On se croisait surtout sur les stades.
Tu étais le papa attentionné qui accompagnais Clément et Raphaël aux entrainements comme aux compétitions d'athlétisme.
Discret mais toujours présent, tu dégageais une sympathie naturelle, toujours un mot juste pour encourager les jeunes athlètes, toujours positif dans tes propos, toujours mesuré.
Je ne garderai que de bons souvenirs de nos rencontres.
Et une pensée émue à Isabelle et aux garçons.

Philippe Dubois

Une belle âme qui s’en va …..
Le souvenir d’un être passionné, toujours bienveillant, à l’écoute, sincère, le tout avec élégance et simplicité.
Plus de 30 ans en arrière, voir ce visage si sombre lorsque l’on a connu un François enjoué, rieur, m’attriste encore davantage.

Catherine Pollier

Monsieur,
Je vous souhaite un beau voyage.
Rempli d'Amour, détaché de toute souffrance.
Merci pour tout.

Bianca R-Harison

je n'ai jamais vu François avec autre chose qu'un sourire sur le visage que ce soit a l'athlé pour venir nous supporter ou dans la rue quand on se croisait. Je garderais le souvenir d'un homme qui transmettait sa joie de vivre d'une manière tellement naturelle qu'elle faisait oublier les déceptions d'une épreuve raté.
Qu'il puisse maintenant se reposer en paix et continuer à nous transmettre à joie.

Bedel

François, c'est avec respect et émotion que je retiendrai ta présence toujours bienveillante que tu as eu sur nous, sur toute l'équipe, de cette petite piste de Charles Moureu, à tous les stades partout en France. Nous avons vécu des moments formidables aussi bien sûr la piste qu'en dehors. Une énorme pensée à Isabelle et aux gars.

Thomas

François, mon ami,
A notre première rencontre nous n'avions pas 20 ans ...
Depuis combien de mondes avons nous refait entre deux verres, entre deux parties d'echecs, entre deux cigarettes, entre Henri IV et Assas, entre Buno et Paris, entre Sainte Maxime et Marseille, entre deux concerts, entre deux elections, entre trois enfants et leurs biberons, entre Marketing et Education Nationale, entre un souci ou un autre ... et pourtant tous ces mondes avaient comme points communs : une amitié indefectible, une humanité intransigeante, un refus de la connerie, une revolte contre l'injustice, et toujours l'envie pour demain d'un monde meilleur ...
Je pense à toi Isabelle, à vous les enfants et je pleure à toi François mon si vieil ami.

Patrick Ben

Ton gobelet sur le haut de la machine à café n'était pas à côté du mien ce matin en salle des profs

isabelle

François,pour moi, c'est cet oncle ironique et doux qui venait nous voir en vélo à Nanteau, partager notre coin du feu et un bout de conversation. Quand nous parlions de notre métier, il m'impressionnait toujours par sa vision claire de l'Educ Nat et sa grande, immense, foi dans les élèves. Il va nous manquer.

Isabelle

François était un oncle avec qui on pouvait parler longuement, il avait une curiosité, une grande qualité d’écoute, un recul sur le débat et une forme d’ironie à propos de ce qui lui semblait injuste.
Parmi les souvenirs qui reviennent en pensant à François, le plus distinct est celui de ces insomnies partagées en été à Atalaya ou lorsque la maison dormait nous avons fumé clope sur clope en refaisant le monde ou en jouant aux échecs. Aux échecs, en bon professeur, François m’expliquait ses coups a postériori. Malgré ses conseils je ne me souviens pas avoir gagné une seule partie tant il prenait de plaisir à me rouler gentiment dans la farine.

Thomas

J'apprend la nouvelle de mon frère qui étudie dans l'établissement ou vous travaillais.
C'est un vrai choc pour moi votre anciens élèves ... dur de trouver quoi dire face à ce genre de situation , dire que je vous avais eu au téléphone quelques semaine avant afin d'aller se boire un verre. Comme beaucoup de personnes je vous doit en grande partie ma réussite scolaire.
Votre gentillesse , la richesse des conversation qu'on pouvais avoir dans l'établissement et en dehors, votre implication pour dans votre travail. Tant de chose qui s'éteigne maintenant . Comme pour votre collegue , ami , monsieur ARZ vous faites partis des personnalités m'ayant le plus marquer dans cette courte vie qui est la mienne.
Vous allez me manquer ... Vous nous manquais déjà ! Ce n'est qu'un au revoir

kamel

Nous avons fait connaissance par l’intermédiaire de nos enfants sur les pistes d’athlétisme. Je garderai un bon souvenir de vous dans ma mémoire.

Corinne Mendy

Un séjour mémorable à Londres avec une classe de première stg restera gravé à jamais.Le fou rire avec Magalie et toi, sur le palier de la maison qui nous avait été prêtée lorsque l'alarme s'est déclenchée à minuit, réveillant tout ce beau quartier d' Epson...Et puis les élèves, les 4 qui nous avaient joué un tour pendable, le garçon qui avait pété un plomb dans le car au retour. Un séjour pendant lequel j'ai pu apprécier ton humour, ton humanité et ta disponibilité.Adieu l'ami...

Marie-Hélène

Pour moi, vous étiez Papa Puiseux, le beau-père dont tout le monde rêve, intimidant mais ô combien attachant.
J’aurais aimé vous dire toute mon admiration et vous remercier pour votre bienveillance discrète et juste, à votre image.

Nos « bonjour-bonsoir » vont me manquer, vous allez me manquer.

Pauline

Je ne garderai que de bons souvenirs des moments que j'ai pu partager avec François et sa famille.
Tu es une personne qui m'a inspiré et tu continueras à le faire car j'ai beaucoup appris en te côtoyant, même de loin.

Louca

Monsieur,
Je n'arrive pas à trouver les mots tant votre disparition me paraît irréel.
Vous représentiez pour moi de la joie, du serieux, une connaissance incroyable, un pationné, un homme aimant les autres et une sympathie que vos élèves connaissent si bien. Ce fut un plaisir d'avoir traversé votre vie M. Puiseux.

Jennifer Lods

Ce n’est qu’un au revoir... françois

bornil jacky

Cher collègue enseignant parti trop tôt, j'ai eu l'occasion de vous croisé depuis de nombreuses années en vous disant bonjour je vous es croisé pour la dernière fois il y a une quinzaine de jours sur le site Patay aujourd’hui je suis triste d'avoir appris cette nouvelle qui touche l'ensemble de vos collègues, repose en Paix.

pierre

Monsieur,
Pour avoir été votre élève il y a quatres ans, je puis dire ici que si je conserve un excellent souvenir de l'année de terminale, c'est en partie grâce à vous. Je me souviens des jours où sans l'avoir prévu nous déjeunions à L'Entracte, le restaurant en face du lycée. Votre compagnie m'était, comme à d'autres, rassurante et nos conversations pleines des sujets les plus bouillants de l'Histoire et de l'actualité. Vous m'aviez durant le dernier printemps prêté un livre sur la retraite de Russie. Je vous l'ai rendu au 30 du mois d'Août. Nous avons fait un déjeuner de viande et de vin rouge et j'en suis reparti avec trois livres imposant que vous me prêtiez. Je voulais vous appeler ce mois-ci pour parler de ces écrits. Que ne l'ai-je fais plus tôt. Où que vous soyez, trouvez la paix. Je citerai un personnage dont vous et moi nous avons beaucoup parlés : " Il n'y a d'autre immortalité que le souvenir qu'on laisse dans l'esprit des hommes".

Ulysse Casadesus

Un mot me vient à l'esprit François: jubilation. Ce plaisir intellectuel intense qui t'animait lorsque tu "collais" en ATS: ta soif de transmettre et de faire progresser, ton regard malicieux et pétillant quand tu débattais avec les élèves...et une distance qui t'évitait de sombrer dans le futile et l'agitation vaine du quotidien. Tu souriais avec bienveillance, les étudiants et leurs facéties t'amusaient. Souvent tu t'attardais pour discuter.Tu aimais que Claude te rejoigne et te fasse rire.
Impossible d'oublier ce que tu représentes: le respect de l'autre, la foi en l'humain, le sens des valeurs, la finesse d'analyse et une exigence pédagogique saine et constructive.
Ton départ nous bouleverse mais ce que tu as apporté à chacun reste en nous bien vivant.

Véronique Allué-Talleux

Il est à la fois extrêmement difficile de dire au revoir à François et en même temps très réconfortant de prendre du temps pour penser à lui et se rappeler les bons moments. Comme celui ci par exemple : anniversaire de Xavier, l'orchestre emballe la piste de danse. François est en première ligne et enchaîne les rock n' Roll endiablés. Je remarque qu'il a un peu le même déhanché que mon père, un typique des frères Puiseux ? Le François de ce soir là, rieur et aimant de sa famille, était certainement très représentatif de l'image que j'avais de mon oncle et de celle que je garderai. François tu vas nous manquer.

Valentine

On tarde toujours trop à reprendre contact avec les amis, je me disais depuis un moment qu'il fallait que je vous appelle. Même si on ne se voyait plus beaucoup, mon amitié est toujours là. Je partage votre tristesse et suis de tout cœur avec vous

François Giraudy

Ta longue silhouette, ta parole lucide, ton humour, ton attention bienveillante planeront longtemps dans les couloirs et les salles de notre lycee. Tu vas nous manquer.
Bon voyage, comme le dit si justement ton ami Claude.

Dominique Ducos

Pas facile d'écrire un mot à côté de cette photo qui lui ressemble tant. François avait cette humilité et cette profondeur qui font les grands hommes. C'était toujours un plaisir de discuter avec lui et de se moquer des prétentieux et des "m'as tu vu". Je pense beaucoup à Isabelle mais aussi beaucoup à vous 3.j'ai également perdu mon père à 20 ans, pour Aurélien, Clément et Raphaël, sachez que seuls les bons souvenirs demeurent et que votre père est un modèle. Nous vous embrassons bien fort.

Marc Verdeil

Je salue la mémoire d'un homme , il a été mon professeur d'histoire en terminale. Je lui dois beaucoup, friand de débats et de beaujolais. Nous avions partagé des conseils de classe et d'administration .

J'ai eu la chance de pouvoir parler et d'avoir échangé sur divers sujet historique et géopolitique avec lui. Fidèle à la France éternelle à cette flamme qui ne s'éteindra pas.

C'est le cœur serré que j'ai appris qu'il nous a quitté ; je veux saluer et honorer la mémoire de cet homme droit , avec une autorité bienveillante , qui a servi son pays en enseignant l'Histoire.

Et je dédis ce poème :

Les yeux

Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lève encore.

Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre ;
Les étoiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d'ombre.

Oh ! qu'ils aient perdu le regard,
Non, non, cela n'est pas possible !
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu'on nomme l'invisible ;

Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent :

Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l'autre côté des tombeaux
Les yeux qu'on ferme voient encore.

Teddy Finote-Tassel

Un homme bienveillant,un collègue cultivé sur lequel nous savions pouvoir compter: voilà l'image que j'ai pu me forger à l'occasion de nos rares rencontres.

georgia thiercelin

Salut à toi, François. La dernière fois que je t'ai vu, c'est sur la place d'Italie, un jeudi de novembre. Tu m'a lancé " À la semaine prochaine". J'ai vu ta haute silhouette disparaître dans la foule. Nous venions de refaire le monde une fois de plus,autour d'un verre après le travail, à la terrasse du Café de France. Tu n'aimais pas ce monde qui tourne de moins en moins rond, tu n'aimais pas la misère sociale et tu voulais que ça change. Ce que j'appréciais le plus chez toi, c'était ta droiture et tes valeurs humanistes. Je me souviens aussi de l'amour que tu portais à ta famille, tes enfants, tes parents et bien sûr à ta femme.
Bon voyage, l'ami.

Claude Arz

Je n aurais pas eu l occasion de connaître François. Je l apercevais dans la salle des des professeurs et je le trouvais triste. La nouvelle de son décès m a frappée en plein Coeur. Je ne l oublierai jamais.

Hélène

François, c'est Nanteau, les week ends, les vacances, les parties tennis, les ballades en vélo, les jeux de cartes, les cigarettes en cachette, une amitié pudique, comme François. C'était il y a bien longtemps mais tous ces souvenirs sont gravés dans ma mémoire, dans mon coeur.

Valérie Tentesaux

Mes pensées vont vers vous, et je vous remercie de nous donner la possibilité de vous ecrire l immensité de notre desarroi. Je suis une collegue de François, depuis plusieurs années. On pouvait compter sur lui, sur son serieux, il etait rassurant. Je trouvais que pour la classe de TES particulierement nous faisions ensemble, avec Claude et christophe, un quatuor de choc. François m a toujours impressionnée par sa culture, sa gentillesse, sa discretion et son autorité naturelle et bienveillante avec les eleves. Une ancienne eleve de stg qui est devenue mon amie m a toujours dit ce qu elle lui doit, lui qui l a aidee à oser se preparer à une classe prepa, quand il s occupait de cela avec Magalie. Si vous saviez comme elle lui en est reconnaissante. Je pense au livre dont il m avait parlé avec tant d emotion, oh mon dieu quel titre, en ce jour funeste, L autre moitié du soleil. Je vois salue, humblement.

Barbara Glissant

C'est pas facile d'écrire ce message. Je n'arrive toujours pas à croire à la réalité de la chose pour le moment.
Mon père était un modèle pour moi, parfois en mal mais très souvent en bien. Il avait une culture encyclopédique et un intérêt pour tout. Je n'arrête pas de penser à tout ce que je n'aurai jamais l'occasion de lui dire, de lui montrer, de partager avec lui.

Aurélien